Pour une meilleure compréhension de SNOMAX, il faut d’abord expliquer le principe du gel de l’eau. Pour que les températures basses entraînent le gel de l’eau, celle-ci doit être « contaminée », par exemple, par des particules de poussière ou des bactéries qui offrent aux molécules d’eau qui se cristallisent la possibilité de s’agréger. Sans ces particules, l’eau gèle uniquement à partir d’une température de -40°F / -40°C.
On ajoute SNOMAX à l’eau d’enneigement au moyen d’un système d’injection. Chaque sachet contient assez d’activité pour plus de 100 000 gallons / 380 000 litres d’eau. Grâce aux protéines contenues dans SNOMAX, chaque goutte d’eau rencontre un germe de neige. Plus d’eau se transforme en neige et moins d’eau se perd sous forme de vapeur. SNOMAX présente une température de nucléation la plus élevée de la branche. Alors que d’autres inducteurs de neige ne peuvent être employés qu’à des températures jusqu’à 20°F / - 6,5°C, SNOMAX fonctionne même avec un bas taux d’humidité de l’air et à des températures de 31°F / -0,6°C.
De nombreux tests ont donné un résultat univoque. Dans le test comparatif, SNOMAX a permis de gagner jusqu’à 15% de neige en plus à partir de chaque gallon d’eau. En outre, SNOMAX a favorisé un débit d’eau plus élevé, ce qui a permis d’augmenter la quantité de neige produite d’au total 40 %.
Grâce à SNOMAX, la neige se conserve plus longtemps, ce qui permet de réduire le nombre d’enneigement. La neige générée avec SNOMAX présente une température de fonte plus élevée et elle est donc plus résistante car il se caractérise par une liaison ionique plus forte ainsi que par sa structure cristalline plus petite.
L’eau contenant du SNOMAX gèle plus rapidement, de manière plus égale et la neige reste plus longtemps sur la piste. Il en résulte jusqu’à 40 % de neige en plus d’une qualité supérieure. La neige reste plus longtemps sur la piste et elle est plus facile à traiter, ce qui implique des effets positifs économiques aussi bien qu’environnementaux.