Environnement

SNOMAX est constitué de protéines de Pseudomonas syringae, une matière biologique. Pseudomonas syringae est présent dans le monde entier, sur tous les continents, autant sur la terre que dans l’eau ainsi que dans le ciel. Dans un m³ d’air se retrouvent, en moyenne, 40 de ces protéines, sur une seule tomate, il peut y en avoir jusqu’à 10 milliards. SNOMAX ne contient pas de microorganismes vivants, ce qui favorise la multiplication de la protéine. Une étude du gouvernement canadien confirme que l’utilisation de SNOMAX dans tous les domaines skiables du Canada impliquerait la libération d’un nombre d’organismes correspondant au nombre de ceux vivant sur 100 feuilles d’un arbre.

SNOMAX prend très au sérieux les impératifs environnementaux. Les effets positifs sur la production de neige permettent d’économiser les ressources précieuses que sont l’eau et l’énergie. Pour cette raison, nous avons soumis notre produit à de nombreuses études au niveau mondial, ce qui fait de SNOMAX l’un des produits pour la production de neige les plus étudiés. Les organes de test au Canada, en Norvège, au Japon, en Suède, en Finlande, en Italie, en France, en Suisse, en Australie et en Nouvelle-Zélande, des pays connus pour leur respect particulier de l’environnement, ont autorisé la distribution de SNOMAX. Des instituts indépendants ont conclu que SNOMAX n’a absolument pas d’effets nocifs sur l’environnement.

Institut suisse BioLink

Par exemple, le prof. Dr. Richard Braun a étudié en 1998 l’utilisation de SNOMAX pour l’institut suisse BioLink. Il parvient à la conclusion suivante :

« SNOMAX est une matière biologique dont les protéines sont, en petites quantités, catalyseurs de la formation de cristaux de glace. Le produit est ajouté à l’eau d’enneigement afin de produire sur les pistes de ski une neige de qualité meilleure à des températures plus élevées. SNOMAX est fabriqué à partir de microorganismes inactifs et ne présente de risques ni pour la santé des humains ni pour les plantes ou les animaux. Aucun effet négatif de SNOMAX sur la végétation n’a pu être observé. »

biolink, Communication on Biotechnology,Rapport (PDF)

Office fédéral de l’environnement, des forêts et du paysage

L’Office fédéral de l’environnement, des forêts et du paysage est arrivé à une conclusion similaire :

Dans la mesure où SNOMAX ne contient pas de bactéries vivantes, « il est possible d’exclure [...] la possibilité d’effets pathogènes ». Puis : « De l’évaluation chimique résulte le constat que le produit ne contient pas de substances nocives. Ses composants sont essentiellement des substances organiques d’origine biologique comme les protéines et les aminoacides, les acides nucléiques ainsi que les glucides. Bilan : On ne s’attend à aucun effet négatif sur l’environnement.
Ce rapport éclaircit également la question de la biodégradabilité : « La nature des composants assure la biodégradabilité intégrale du produit. »

Office fédéral de l’environnement, des forêts et du paysage, OFEFP,Rapport (PDF)